Remerciements

Siècle bleu

Je tiens à remercier tous ceux, qui à travers leurs lectures successives et leurs commentaires, m’ont fait croire à ce projet, permis de l’améliorer et surtout soutenu pour aller jusqu’au bout : François Agonayan, Guillaume Berti, Xavier Blanc, Alexandre Blanchard, David Blavier, Michaël Boccara, Jean Brousse, Yannis Brun, Gabriel Dabi-Schwebel, Nicolas Degruson, Jean-Paul Dietsch, Cécile et Frédéric Donche, Sophie Ducoloner, Sébastien Dumont, Jean-Baptiste Dupin, Caroline et François Dupont-Métayer, Nicolas Dusart, Hervé Fredouille, Vincent et Delphine Garbit,  Cyrille Garnier, Géraldine Giraud, Laurent Giusiano, Guillaume Horn, Jean-Côme Lanfranchi, Nicolas Marques, Hugo Marsac, Curtis Newton, Franck Pasquier, Frédéric Platon, Cédric Puel, David Rapin, Sébastien et Nicolas Raybaud, Benoît Rottembourg, Emmanuel Valette, Patrick Vial-Civatte, Pierre Varenne. Merci à Chantal, Jean-Paul, Laurence et Frédéric pour leurs encouragements ainsi qu’au reste de ma famille. Merci à René Dars pour son amitié, ses relectures attentives et ses conseils précieux. Merci à Fujiko Takenouchi, Gordes Frobenius et Claire Bellanger pour les discussions sur le Japon. Merci à Michèle Decoust pour son aide décisive et pour m’avoir permis de rencontrer l’équipe de Biosphere 2. Merci à mon éditeur, Jacques Binsztok, pour l’intérêt qu’il a tout de suite manifesté pour ce projet et pour la richesse de ses conseils. Merci aux équipes de JBz&Cie et Hugo&Cie pour leur dévouement et tout particulièrement à Hugues de Saint Vincent, Audrey Messiaen, Adeline Escoffier et Christian Foch.

Je souhaiterais remercier expressément Michaël Boccara qui m’a fait découvrir en 1996 l’ouvrage Clairs de Terre, extraordinaire recueil de photographies et de poésies d’astronautes, point de départ de cette aventure romanesque.

Merci aux astronautes de tous les continents pour leur courage et leurs messages de paix. Merci de risquer vos vies pour que l’humanité poursuive cet élan admirable. Merci à Frank White pour avoir analysé dans The Overview Effect leur métamorphose après un long séjour en orbite. Merci aux scientifiques, ingénieurs et entrepreneurs du secteur spatial qui mettent leur savoir et leur passion au service de cette quête qui transcende l’Homme. Merci aux politiques qui se battent pour préserver ces programmes dont le « retour sur investissement » n’est pas toujours aisé à justifier dans une société aveuglée par le court-terme. L’attitude de l’administration Obama à l’égard du programme Constellation en est la triste illustration mais l’aventure reprendra nécessairement sous une autre forme.

Merci à tous ceux qui, à leur échelle et à travers leurs actions, bâtissent un monde meilleur. « Penser globalement et agir localement », disait René Dubos. Merci aux empêcheurs de tourner en rond et aux créateurs d’utopie qui imaginent des futurs plus motivants pour l’Humanité que la promesse d’un grand supermarché. Merci à tous ceux qui se battent pour préserver l’équilibre de la planète mais encore plus à ceux qui le font avec la foi dans l’Homme, animal jeune et fougueux mais capable également de réalisations admirables. Mentions spéciales aux créateurs de Biosphere 2, à James Lovelock pour l’hypothèse Gaïa, à Paul Watson pour Sea Shepherd et à Richard O’Barry pour The Cove. Merci à tous ceux qui préfèrent embellir et faire rêver que noircir.

Merci à Nice pour la couleur de son ciel et les peintures d’Yves le monochrome.

Merci entre autres aux auteurs cités dans la bibliographie pour les pièces apportées au Grand Puzzle. Merci à Google, Wikipedia, TED et Apple sans lesquels le vingt-et-unième siècle ressemblerait tristement au précédent.

Merci entre autres à Vitalic, Daft Punk, Silicon Soul, Jam & Spoon, The KLF, The Chemical Brothers, Amnesia, Moby, Underworld, Laurent Garnier, Manu Chao, Clint Mansell, M.I.A., Yann Tiersen, Philip Glass et aux canettes d'energy drinks qui m’ont accompagné et tenu en éveil durant mes nuits d’écriture.

Mes remerciements les plus chers vont à ma femme Virginie. Elle a toléré avec bienveillance mon isolement ces dernières années et écouté patiemment mes élucubrations. Merci à Jules et Lucie, cadeaux divins, qui auront, je l’espère, la chance de vivre dans un Siècle bleu.